royal
Moralisation (suite)
Après avoir écouté le président de la République, je vais arrêter provisoirement la moralisation, pour réagir
Donc je me résume : un élu se constitue une équipe (pas les assistants, les secrétaires, chauffeurs ...) dont il choisit la composition et les rémunérations de façon impériale, esclavagiste qu'il impose au peuple en lui refusant le plus élémentaire droit de contrôle (à commencer par une information honnête)
Cette approche abjecte, pourrie, nazie donc religieuse (j'ai tenté d'expliquer ce point sur mon blog polrelig.hautetfort.com : bouddhismes, totalitarismes) est même celle de ceux qui se disent à gauche, ou à gauche de la gauche (française, bien sûr. Loin, si loin de la vraie gauche)
Et ça nous coûte. Combien ?
Il semble y avoir un certain consensus : si nous étions administrés à la suisse (pas franchement sous administrés) ça nous coûterait 400 milliards d'euros par an en moins. on voit l'ampleur du rackett exercé par les élus
si nous étions administrés à l'allemande (pas franchement sous-administrés), ça nous coûterait 250 milliards d'euros en moins par an. On voit l'ampleur du rackett exercé par les élus .
Et je ne parle même pas de ceux qui y vont de leur petite saloperie personnelle (Moscovici/Royal, Trautmann, Bartolone/Linemann/Cambadélis). J'y reviendrai